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Le retour à Durango annonce déjà la fin du voyage, mais toujours sous le soleil.
La ville de Durango est chaque jour en fête, dans les rues, les 2 théâtres, les salles de spectacles, les jardins publics, les écoles, sur les places. Et ça va durer ainsi jusqu’à la fin de l’année.
« La culture constitue l’axe fondamental du développement » ; c’est la première phrase de l’introduction au programme offert par la municipalité de Durango à ses habitants. C’est, ajoute le président municipal, une forme différente de politique qui permet aux habitants de partager les mêmes valeurs et la même identité.
Clin d'oeil du hibou du zoo de Durango
Opéra, Expos, Chants, danses, Cinéma, Conférences, Artisanat, présentation de livres par les auteurs se succèdent chaque jour. Tout  n’est pas gratuit, mais presque.
On a été voir Casse noisettes, de Tchaïkovski, donné par le ballet de Moscou au théâtre Ricardo Castro, écouter une jeune chanteuse mexicaine et son groupe, un autre groupe de mariachis composé d’une quinzaine de musiciens et presque autant de chanteurs costumés, une pièce de théâtre.
Dans les rues, on a assisté  à des défilés, mélange de musique militaire, et de chars colorés.
Et puis aussi on a parcouru le concours de peinture de rue, organisé sur le chemin qui va de chez Gema au centre ville. Je n’ai pu y participer parce qu’il est réservé aux résidents de Durango. C’est comme si j’avais perdu 40.000 pesos, valeur du premier prix.
Comme j’ai toujours l’appareil photo, j’ai pris quelques photos. Elles n’on pas grande valeur touristique, mais c’est un peu de notre vie à Durango, partagée entre les promenades en ville, au zoo, aux musées, … la famille, les amis et amies de Gema, et la piscine d’eau thermale, en plein air, à l’extérieur de Durango, vers la montagne.  . L’eau sort de terre, presque brûlante. Elle refroidit 2 à 3 jours dans les 5 bassins avant que l’on puisse s’y baigner. Le plus froid des bassins,25m, et aussi le plus grand, offre une eau qui dépasse les 30°. Chargée en minéraux, elle ne nécessite aucun ajout de chlore. Avec Arturo, mari de Lupita, mère de la filleule de Gema, on y a fait des  longueurs à 8 heures du matin.
Dimanche 05 décembre on sera à Zacatécas, dont le centre historique est inscrit au patrimoine culturel de l’Humanité par l’Unesco.

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